Assez pris par le temps pour le moment (boulot et préparation électorale des communales), tu auras remarqué que le blog est au service mimimum ...
Promis, je reviens très vite
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permet de ne pas dire quelques mois). Une brique de 600 pages qui nous aide à comprendre le félin! Et ce n'est pas peu dire.
Dernièrement, nous nous étions acheté des coussins "anti-stress" chez Nature et Découverte. En microfibre, remplis de très petites boules de résine, ils sont 'reposant' en les malaxant. Pris d'une folie, il a commencé à les rechercher derrière les coussins du fauteuil. Depuis petit, il s'entraine à l'attaque sur un nounours qui ne lui a jamais rien fait. Après l'entrainement, il passe sur le dos du pépère de la maison Salem.Dans une interview à "Libération", le ministre-président flamand Yves Leterme déclare que les francophones des communes à facilités ne sont pas en état intellectuel d'apprendre le néerlandais. Elio Di Rupo estime qu'il s'agit peut-être d'une mauvaise traduction. Ecolo, le CDH et le MR s'insurgent.
Source: Le Soir.be
Et pour mieux comprendre ... voici la retranscription du Libé de ce vendredi 18 août 2006. Pauvre Belgique!
Yves Leterme, ministre-président de la Flandre, envisage l'autonomie de sa province et souligne les différences entre néerlandophones et francophones
«D'un Etat unitaire à un Etat fédéral»
Yves Leterme est le ministre-président de la Flandre depuis 2004. Membre du «Christen-Democratisch en Vlaams» (CDV : démocrate-chrétien et Flamand), de père francophone et de mère néerlandophone, il porte sans complexe les revendications flamandes vers une autonomie toujours plus grande. Il reconnaît qu'il envisage sereinement l'indépendance de la Flandre, mais pas «à court terme».
La notion de «frontière linguistique» est-elle une création belge?
Tout à fait. Cela étant, lorsque nous avons fixé définitivement cette frontière entre les néerlandophones et les francophones, en 1963, on a consacré une réalité qui remonte à la chute de l'Empire romain, lorsque les Gallo-Romains ont été repoussés par les peuples germaniques. La différence linguistique entre le Nord, qui a adopté la langue des envahisseurs, et le Sud, qui a continué à employer le latin, date de cette époque. La réalité, très simple, est que la Belgique est une construction infiniment plus récente que la frontière linguistique.
C'est une fois l'espace linguistique néerlandophone reconnu qu'on a commencé à lui donner un contenu politique : il n'y a pas d'autre exemple historique où une frontière linguistique précède ainsi une frontière politique.
En règle générale, les systèmes fédéraux tendent à être davantage fédérateurs. En Belgique, c'est le contraire : nous sommes passés d'un Etat unitaire à un Etat fédéral, et chaque entité fédérée conquiert, au fil des ans, toujours plus de pouvoirs. C'est ce que j'appelle le «fédéralisme centrifuge». Il faut aussi bien voir que cette autonomie grandissante de la Flandre est tout à fait conforme à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme, qui estime qu'un peuple a droit à un territoire incontesté, ce qui est valable pour les Flamands et les Wallons. Dans la réalité belge, cela suppose des frontières, des démarcations.
N'aurait-il pas fallu rectifier cette frontière pour tenir compte de l'évolution de la réalité linguistique et politique ? Par exemple, Rhode-Saint-Genèse, au sud de Bruxelles, est très majoritairement francophone bien qu'en territoire flamand.
Il n'est pas question de toucher à cette frontière ! Si on le fait, je remettrais aussitôt en cause la parité entre francophones et néerlandophones au sein du gouvernement fédéral, où les francophones sont surreprésentés par rapport à leur poids réel dans la population belge. Il est cependant exact qu'il y a des communes en territoire flamand qui sont à 70 ou 80 % francophones. Mais l'usage du français y est toléré : c'est ce qu'on appelle les communes à facilités. Cela étant, au départ, l'idée était que beaucoup de francophones allaient s'adapter à la nouvelle réalité linguistique. Mais apparemment les francophones ne sont pas en état intellectuel d'apprendre le néerlandais, d'où la prolongation de ce statut d'exception.
Pourquoi avoir constitué deux espaces monolingues et non un espace bilingue?
La Flandre, pas plus que la Wallonie, n'a jamais été un espace bilingue, sauf pour la bourgeoisie. Pis : l'Etat belge a longtemps opprimé les néerlandophones en refusant de reconnaître leur langue, considérée comme un simple patois. Aujourd'hui, il est trop tard pour changer cette réalité. Regardez les difficultés des leaders francophones, et même du Roi de ce pays, à parler couramment le néerlandais ! Comprenez-moi bien : je suis prêt à discuter de la création d'un véritable espace bilingue, mais je ne crois pas qu'il existe une telle volonté politique du côté francophone.Aujourd'hui, le fossé entre Flamands et francophones n'a jamais paru aussi profond.Oui, les différences s'amoncellent, le fossé se creuse. Que reste-t-il en commun ? Le Roi, l'équipe de foot, certaines bières...
Est-ce dramatique?
Non. La Belgique n'est pas une valeur en soi, ce sont des institutions au service d'une population. Si les institutions n'évoluent pas pour s'adapter aux désirs des citoyens, ce pays n'a pas d'avenir. Je veux être clair : mon parti ne participera pas à un gouvernement, après les élections de 2007, s'il n'y a pas de nouveaux transferts de compétences vers les régions. La nécessité d'avoir un gouvernement fédéral passe au second plan par rapport aux intérêts de la Flandre. Vous savez, des gens ont vécu ici depuis des siècles et des siècles sans être Belges... La Belgique est née d'un accident de l'histoire, il ne faut pas l'oublier.
Bruxelles, ville francophone, est une épine dans le pied de la Flandre.
Elle compte entre 80 et 90 % de non néerlandophones. Mais Bruxelles est à la fois un problème et une opportunité. C'est une ville à vocation internationale qui devrait voir son statut évoluer dans ce sens.
Ecartez-vous la création d'un Bruxelles «district fédéral», sur le modèle de «Washington, D.C.», qui échapperait à l'autorité des Flamands et des Wallons et serait géré par les Bruxellois et les Européens?
Je n'écarte absolument pas cette idée car c'est une possible solution à l'imbroglio actuel.
Une Flandre indépendante changerait-elle beaucoup la réalité politique actuelle d'une Belgique qui ressemble de plus en plus à une coquille vide?
Cela changerait très peu de chose, c'est vrai. Mais je ne suis pas séparatiste par principe : je ne vois pas la valeur ajoutée à court terme d'une Flandre indépendante, même si elle pourrait parfaitement se débrouiller seule. Il y a certaines choses que l'on peut encore faire en commun, comme, par exemple, la solidarité interpersonnelle pour les retraites et les malades. Et puis, vous savez, pour divorcer, il faut être deux.

On passe devant une jeune assise à terre réclamant clairement à manger. Je ne sais pas pourquoi mais aujourd'hui, j'ai trouvé que la situation me mettait mal à l'aise! Chemin faisant, et plus loin, on croise un autre jeune, dans le même état que la 1ère, réclamant clairement à manger pour lui et son chien! Et moi, j'étais toujours avec ma gaufre! Quid? Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive, je suis touché par cette mendicité qui d'ordinaire me laisse plus froid!
être formulé! Rien de telle qu'une belle surprise. Il faut attendre que le repas du fumeur soit servi! Ben oui, il faut le gêner là où tu as été gêné. Et puis LACHEEEEEEEEEER! Une bruyante ou une sournoise, à toi de choisir mais l'effet sera garanti! On constatera rapidement lequel des 2 sera le plus dérangé! Une réaction comme 'Mais, c'est dégueulasse, je suis en train de manger!' peut sortir! Ben oui, le fumeur égoïste du restaurant est aussi culotté! Et puis, avec un peu de chance, son cerveau de drogué va peut-être analyser ce qu'il se passe… et va même le pousser à réagir positivement envers nous, les non-fumeurs.(photos: RTBf)
N
NON PEUT-ETRE: oui surement. Et pour dire non ,il faut dire oui, peut-être.Seuls les belges s'y retrouvent.
O
OUILLE-OUILLE : Si ça fait mal, c'est ouille. Dit deux fois, ça n'exprime plus la douleur mais l'étonnement, la lassitude ou l'impossibilité. "Ouille-ouille, qu'est ce que tu me demandes là ? Dans certains cas, c'est plus menaçant: "Ouille-ouille, qu'est ce que tu vas prendre ! " Souvent utilisé pour exprimer de la surprise par rapport au récit d'un interlocuteur : "Ouille-ouille, toi!"
P
PAF (être). Ou rester PAF: "A quia, bouché bée, les bras ballants, scié.Ne pas confondre avec le colonel Paf. Redoutable défi mêlant gymnastique et performance alcoolisée.
PANADE: voir "Pape" Par ailleurs être dans la panade, c'est être dans le gaz ou dans la mélasse
PAPE: Prononcez "Pap" Les bébés belges adooooorent. Les pépés aussi. Vachement plus parlant que bouillie. La pape s'écoule des commissures puis s'échoue généralement un peu sur la bavette mais aussi partout autour.
PAR APRES: "Après" avec "par" devant. "D'abord, il a dit oui, par après, il a dit non" Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. N'existe pas en version "Par avant".
PLACE ( avoir une bonne) : Avoir un emploi sûr et rémunérateur. Le rêve des parents belges pour leur descendance. Pour beaucoup, cet idéal reste encore quelque part sous le parapluie de l'état, dans le costume 3 pièces d'un fonctionnaire chef (adjoint) de service.
PLACE ( voir la): Voir la différence. La ménagère: "j'ai nettoyé la cuisine". Son mari: "Oui, on voit la place".
PLOTCH: de beurre. Mais une grosse, hein, et bien au sommet de la purée.
Q
QUETTER: Là par contre, c'est nous les cochons ! Rien à voir avec une quête, qui quette ne s'abstient donc pas.
QUEUE (faire la): Sujet d'empoigne entre français et Belges. Les premiers font la file, les autres la queue. Mais les uns et les autres se retrouvent quand il s'agit d'enguirlander le resquilleur : "A la queue comme tout le monde ! ".
R
RAWETTE: petite quantité, souvent excédentaire. Un définition plus complète serait superfétatoire. Je vous la mets quand même?
RENON: Chez nous, on ne résilie pas un bail, on donne son renon. Souvent parce qu'on a enfin une brique dans le ventre.
S
SAISI: étonné et/ou crétin. " N'insistez pas docteur, c'est un saisi"
SAVONNEE: un bonne est conseillée pour "rattraper" un fauteuil mais il faut "frotter" énergiquement.
SACOCHE: Sac à main mais pas un sac à 1.000 Euros. Si on traite un "Delvaux" de sacoche, ça peut aller jusqu'au procès.
SOQUET : Un belge qui achète deux soquets, on peut dire de lui qu'il a une belle paire de douilles.

d'Israël à l'autodéfense ne lui donnait pas celui de «rayer Beyrouth de la carte». «Israël a un droit intangible à se défendre, à la légitime défense, mais cela ne donne pas encore le droit à Israël de rayer Beyrouth de la carte, de supprimer les infrastructures de base, de se comporter en acceptant des effets collatéraux dramatiques comme ceux que l'on a vu à Cana et ailleurs», a-t-il déclaré dans un entretien accordé à la radio publique belge RTBF. «Tout cela doit être dit et on ne le dit pas assez», a-t-il poursuivi.
Le matin, je ne sais pas dormir. Bah, il faut voir le bon côté de choses et de se dire que l'on peut avoir la digue presque pour soi tout seul. J’en profite, je vais sur le Pier et je contemple la volonté de quelques ‘surfeurs’ belges (c’est assez gag, je trouve) de remonter le courant des vagues durant 10 minutes pour en trouver un bonne (celle de 1,50m) qui va les faire glisser durant 7 secondes sur 10 mètres. (Cherche bien sur la photos, ils y sont)
que cela ne tienne, on va bourrer car il faut rentrer. On est des vieilles personnes et on s’en fout que l’on bloque un tram complet pendant des minutes! Non, non, je ne descends pas, j’attends que les autres se tassent pour me laisser entrer. Je suis un vieux brol qui aime faire chier le monde durant les vacances! Après 5 minutes de franches discussions avec d’autres passagers, il décide de lâcher le marche-pied pour que la porte puisse se refermer. 30 minutes plus tard, nous voici arrivé à la Reine des Plages! Go vers les boutiques !
ailleurs. Merci!
l'autoroute Bruxelles-Luxembourg. Un axe super important pour nous petits belges! T'imagines, un camion qui s'est retourné sur la chaussée à cause d'une flaque de mazout, c'est grave! Et puis, il n'y a pas de blessé! Ouf! Mais, le plus dramatique c'est qu'il y a des bouchons! Pfff! Pas chouette ça!