C’est une bonne cuisson pour les pâtes. Encore limite dures, elles ont un autre goût. C’est dans cette optique qu’Olivier Monssens à pensé son émission.
Et c’est un régal d’en revoir chaque soir les diffusions de la saison écoulée.
Le principe est simple, c’est la rencontre d’un invité (artiste, politique, animateur, …) en vue de lui poser des questions plus sucrées salées. Rien d’exceptionnel à cela, me rétorqueras-tu? Et bien, c’est le fait que cet entretien se passe dans un resto autour d’un bon repas et d’un bon verre. L’atmosphère, le cadre permet à l’invité d’être à l’aise d’autant plus que c’est lui qui choisi le resto, il est donc en terrain connu voire ami. Les langues se délient plus facilement et la discussion va plus loin. De cuisine en salle, la caméra se balade. Le restaurant est ouvert, les clients font fi de la présence de l’équipe. Une table, 2 personnes, c'est donc assez facile de tout oublier.
C’est ainsi que l’on apprend que François De Brigode (journaliste vedette du JT de la Une) trouve que Julien Lepers est un personnage imbu de sa personne et est un vrai con. Charles Aznavour, quant à lui, est humainement détestable (propos faisant suite à un JT où l’artiste refusait de répondre à certaines questions).
Hier mardi, c’était Stéphane Bern qui a été taquiné par Olivier Monssens. Principalement sur ses positionss monarchiques mais aussi sur la télé. Stéphane s’est alors insurgé contre les émissions anti-arnaques de Julien Courbet et se sais pas gêné de prendre pour cible la chaîne émettrice de ce genre de programme.
Bref, une émission légère sans prise de tête à l’heure du repas. Ce qui change du décompte mortuaire quotidien du Moyen Orient.
Al Dente, tous les soirs de la semaine de 19h15 à 19h45 sur Be1 (en clair).
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1 commentaire(s):
Voilà pour moi une nouvelle raison de regretter de ne pas avoir le câble ! ;-)
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